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Comment faire ... ceci ou cela? Sur ce blog, vous allez découvrir les mille et une facettes du "Comment faire". Alors, ne perdez plus votre temps ailleurs, restez-là, scotchez-vous, vous saurez tout...
Vous avez dit : H1N1. Quelles expertises ont été réalisées sur un vaccin créé en si peu de temps? Aucune! Ci-dessous, l'avis d'une ex-ministre finlandaise.
Se faire vacciner? Ah bon? Qui en profite??? A qui profite le crime?
Un Discours de Vérité
Il y a encore des officiels - et surtout des ex-officiels! - qui sont capables de dire la vérité!
Madame l'ex-Ministre de la Santé de la Finlande ne donne pas dans la langue de bois! Son discours est des plus clairs!
Et pendant ce temps là... qui est-ce qui rigole? La société bling-bling qui entend résonner les pièces (pas seulement jaunes!) au fond de son escarcelle. C'est beau
la politique, non?
Allez, faites comme moi, oubliez vite ce vaccin tueur et vivez que diable!
« Les pensées négatives sont importantes. Elles permettent de se préparer à l'imprévu, de vider nos peurs, d'exercer notre sens critique,
et notre culture cartésienne privilégie ce mode de pensée. »
In « la méthode Vittoz » diffusée sur internet.
Un avis éclairé :
Albert Einstein
"Le Vittoz révolutionnera le monde"
Mais, qui était Vittoz?
Le Dr Roger VITTOZ (1863-1925) est un des premiers psychosomaticiens.
L'ouvrage qu'il a écrit : « Traitement des psychonévroses par la rééducation du contrôle cérébral » met à la portée de chacun des exercices qui permettent de rétablir ce qu'il a appelé « le contrôle cérébral »
Médecin généraliste il a constaté que les « malades nerveux » fournissaient l'essentiel de sa clientèle. Il a renoncé à l'hypnose pour
soigner ces patients. Il a cherché une technique dans laquelle le malade serait actif car il lui paraissait nécessaire qu'il devienne l'artisan de sa propre guérison. En proie aux mêmes
difficultés il a mis au point sa méthode qu'il a expérimentée sur lui-même.
Quelques infos sur la méthode Vittoz :
Son principal ouvrage, publié en 1911, expose les fondements de sa méthode: Traitement des psychonévroses par la rééducation du contrôle
cérébral met à la portée de chacun des exercices qui permettent de rétablir ce qu'il a appelé le contrôle cérébral : une faculté inhérente à l'homme normal, destinée à
équilibrer le cerveau inconscient et le cerveau conscient. Ce qui a pour effet, entre autres conséquences, de supprimer l'anxiété inutile et de recouvrer une bonne conscience de l'instant
présent (...et donc d'améliorer considérablement la mémoire des actes quotidiens (a-t-on bien fermé à clé, etc.)
C'est à partir de l'observation du fonctionnement du cerveau à l'état normal que le Dr VITTOZ élabore sa méthode.
Notre cerveau travaille dans une alternance d'émissivité et de réceptivité
La Réceptivité est la faculté que nous avons de recevoir aussi bien les messages du monde extérieur que celles de notre propre corps.
L'émissivité est la capacite que nous avons à émettre constamment des pensées, des paroles, des gestes, des images etc.
Pour retrouver une émissivité fluide, souple, contrôlée, il est nécessaire de savoir d'abord recevoir correctement
Les différentes parties de la méthode :
1 ) - rétablir la réceptivité
2 ) - les Actes conscients
3 ) - les vibrations cérébrales
4 ) - la concentration
5 ) - la rééducation de la volonté
6 ) - la technique de l'élimination .
7 ) - la relaxation psychosensorielle
8 ) - le Vittoz psychique
Ces quelques informations sont issues des sites suivants :
Vous êtes invités à aller les consulter et à vous en inspirer afin de vous arracher du cerveau toutes les
bêtises emmagasinées au cours de votre plus ou moins longue vie.
Pourquoi? Mais voyons, il est temps de vous préoccuper de ce que vous vivez
journellement au lieu de baiser les pieds des - soi-disant - princes!!
D'accord, tout le monde n'est pas convaincu par la méthode Vittoz ... alors, pensez à Freud, à Jung, au cri primal de Janov, à la gelstat
thérapie de Fritz Perls, ..., et de tant d'autres issus des idées de ces derniers ou d'autres ... pourquoi pas la méthode Coué!
Mais, de grâce, faites quelque chose pour vous, vous êtres timorés vous qui n'osez exprimer votre refus à tout ce qu'en France, la vieille
droite rétrograde, raciste, vichiste, puante, ..., et j'en passe!!! est en train de faire au pouvoir. Evidemment, la gauche, enfin le PS, n'est plus qu'un parti de guignols (si toutefois il a été
autre chose), quant aux autres gauchisants, le vide ou le discours du début du 20ème.
Dans ce triste monde, se lèvera-t-il un être pour comprendre que humanité ne veut pas dire exploitation, ni profit, ni égoïsme, ni tous ces mots
auxquels tous adhèrent : peur, tremblement, insécurité, ...
En conséquence, soignez-vous vite! et reprenez conscience que vous possédez un organe essentiel qu'il est nécessaire de faire fonctionner : UN
CERVEAU ... enfin ... j'espère ...
Ça va mal aujourd’hui. Socrate a été assez fou pour se laisser tenter par un breuvage qui devrait être
interdit. J’entends d’ici les exclamations « vieil ahuri ! Il a encore fallu qu’il touche à l’un de ses poisons ! ». Hé bien, non ! Je n’ai touché qu’à une chose :
un somnifère ! Comme ça ! Juste pour voir l’effet que ça procure. Oh mes aïeux, si j’avais su ! Je me serais plutôt crucifié que de prendre une telle m… ! Deux jours que je
suis dans le coaltar le plus absolu ! Je me demande si ça va s’arrêter ? En plus, aucun plaisir. Et ça ne me fait pas dormir, oh non ! Je suis plongé dans un état frisant la
catalepsie. Je n’ai même pas la consolation de voir des éléphants roses ou de toute autre couleur (je ne suis pas chauvin à ce point !). Non ! La seule chose que je puisse regretter
c’est de m’être fait avoir une fois de plus par ces médicaments allopathiques ! Pourtant, je sais ! Je suis allergique à ce genre de bromure ! Je replonge de temps à autre, sans
discernement ! Vraiment ma vigilance baisse. Tant pis, l’âge …
En fait, je viens de découvrir un site en lisant Télérama : www.visiblebody.com et je vais de ce pas clopinant, l’expérimenter. Il s’agit d’une présentation du corps humain dans tous ces
détails mais aussi des animaux, … Le site n’existe pas en français, semble-t-il, ou je n’ai pas bien regardé. Mais, il est facile de reconnaître ce que, dans le fond, on est ! Simple et
efficace comme une planche anatomique. Je vous livre quelques exemples du plus bel effet.
L’ex grand costaud qui vous cassait les pieds à l’école, voilà ce qu’il devient !
Ce petit voyou qui vous piquait toujours avec la pointe de son compas, histoire de rire ? Hé bien, le voilà !
Où en êtes-vous avec votre circulation sanguine (pas automobile, inculte !) ? Suivez le rouge. Ne vous perdez pas dans le bleu !
On dirait Confucius ! Vous ne trouvez pas ?
Vous allez tout savoir sur vous-même. Le problème de ce site réside dans le fait que tout est en anglais !
Ah ces british, ils nous font attraper des sueurs froides ! Ils pourraient quand même se mettre au français, non ?
Ceci étant, je vous prépare quelque chose qui va vous plaire, j’en suis sûr ! Etes-vous allé au Salon du
Livre ? Non ? Trop tard, c’est fini ! Mais, peut-être n’aimez-vous pas lire ? C’est votre droit ! Au fait, qu’est-ce que vous faites dans vos toilettes si vous ne lisez
pas, hein ?!
A bientôt …
Si vous aimez la musique classique, précipitez-vous là pour entendre Tasmin Little :
Pas vraiment ligoté. Tout comme. J’ai déjà deux heures plantées au poignet. C’est bizarre ces cris, ces râles. Je me suis dit tant qu’à faire faut pas s’en faire je suis entre de
bonnes mains. Erreur mon vieux. T’es entre deux bras de fauteuil. Et quel fauteuil ! Il est bloqué contre un mur intégralement vert pisseux –ils aiment bien la couleur pisseuse, certainement
en rapport avec toutes les angoisses qui se crient ici – bloqué sur ce fauteuil, dans ce couloir infernal –le couloir de la mort ? Non, pas encore là. Ça viendra si ça continue… trois
heures. Toujours rien. Je m’en vais l’attraper.
Mais qu’est-ce que je suis venu faire ici. Si je la tenais celle-là, je la ligoterais à ma place. Elle m’a dit d’urgence, faut y aller avant que ce soit trop tard. Moi, un peu naïf, un peu bête
et obéissant quoi, j’ai obéi. Deux heures plus tard, je commençais la station assise. Et cette satanée aiguille surmontée d’un bocal. Je ne suis pas un poisson rouge. Personne ne vient. Ça crie,
ça hurle. Tous veulent quelqu’un qui s’occupe de lui ou d’elle. Elle, elle est de garde. Elle passe en ne voyant rien. Elle doit aller vers un but que personne ne connaitra jamais.
Quatre heures et demie. Je commence à m’énerver. J’en attrape une au passage. Veux sortir d’ici. La colère commence à m’étouffer. Elle en profite lâchement pour me dire voyez comme vous êtes,
faut qu’on vous aide. Je réussis à la persuader de la faire venir, elle. Elle vient. Elle me dispute car je suis impatient. Un patient ? dis-je. Pourquoi pas un infirme, un handicapé.
D’ailleurs tout le monde s’en fout ici. Personne ne va voir personne. Trop de monde, elle dit. Et alors ? On me plante une aiguille dans la main. On m’immobilise sur une chaise. On évite
soigneusement de me donner la moindre explication. On ne veut pas me parler… Elle se sauve…
Six heures déjà. J’attrape la blouse de ce type. Je hurle qu’il m’enlève cette aiguille sinon je l’enlève moi-même. Et il en verra du sang car bon sang… ne peut que couler. Il refuse. Je
l’oblige. De toute façon je ne le lâche plus. Elle, elle arrive. Elle sent que ça va mal aller. Elle retire l’aiguille en essayant de me culpabiliser, me dit que je n’ai pas le droit de sortir
comme ça, que je suis irresponsable. Je lui mettrais bien une claque. Pour qui elle me prend cette sotte.
Je me lève. Regarde ma montre. Sept heures passés sur un siège ligoté à un bocal.
Je venais juste chercher ma femme. Elle va encore croire que je le fais exprès… d’être en retard ! Quelle idée d’être infirmière !
C'était "Les souffrances du pauvre Socrate". Certes, très différentes de celle de Werther se mourant d'amour de la plus belle espèce pour la femme de son ami. Mais, je n'aime pas la femme de mon
ami! D'abord, elle a des yeux curieux quand elle me regarde. J'ai l'impression qu'elle me verrait bien dans une boîte en bois avec couvercle incorporé. Bon! Je suis plus fort qu'elle, ça doit la
retenir.
Enfin, tout ça pour dire que les hôpitaux, c'est pas vraiment marrant, surtout le service des urgences. Oui, tout ce qui précède est l'image même de la réalité. Sachez qu'un bon Socrate ne ment
jamais!
J’ai hésité longtemps avant d’en parler, mais voilà, vu mon âge canonique – pensez donc,
je sévissais déjà avant Platon ! Ça nous rajeunit pas, hein ma brave dame ! J’ai donc décidé d’exposer ma prostate à la réflexion de tous.
La prostate est cette petite glande qui vient nous emmer… nous, les hommes. Les femmes ont
leurs ovaires. Chacun sa spécialité, unis dans un même but : créer. Ce qui prouve entre nous soi-dit que le monde entier est passionné par la création.
Cette petite chose donc, peut s’avérer casse bonbons quand elle se met à faire des siennes. Telle la grenouille chez La Fontaine, elle veut parfois se faire aussi grosse que la vessie, voire l’estomac ! On lui donne
alors le joli nom d’adénome à ne pas confondre avec Anémone Giscard Déteint. Dans ce cas, elle est gonflée la petiote ! Les chirurgiens se frottent les gants et le portefeuille. Une petite
OPA sur votre prostate c’est bon pour les vacances en Safari. Si vous refusez de la faire couper ou gratter, ou … que sais-je encore, ils vont vous harceler, vous persuader que vous n’allez plus
pisser, que vous allez vous faire exploser tous les organes aux alentours à force de pousser comme un dément pour faire sortir cette petite gougoutte miraculeuse qui vous rend la vie. Alors, si
tel est votre praticien, résistez. Il a tord ! Il existe des remèdes simples, pas cher, remboursé par la sécu. D’autres qu’il suffit d’aller cueillir soi-même nanti d’une paire de gants. Je
ne dis pas que la prostate va diminuer de volume ! Je n’ai pas encore trouvé. Par contre, vous ferez votre gros pipi sans problème. Je vous livrerai les recettes à la fin de
l’article.
La deuxième torture qu’on vous inflige avec cette histoire pas drôle, c’est que vous allez
devenir impuissant ! Evidemment, le vieillissement incite notre petite bistouquette à se pencher vers la terre au même titre que nous-mêmes. Ça prouve que la chose fonctionne dans d’autres
conditions. Sa tête est toujours chercheuse, mais elle cherche autre chose ! Elle devient une tête pensante. Elle a un passé fougueux qu’elle se remémore. Un présent certes moins flamboyant,
mais qui reste plein de promesses, pas toujours réalisées, mais qu’en est-il des promesses ? Elle devient philosophe – de philia = ami et sophia = sagesse. On ne peut donc pas lui reprocher
de gagner en maturité. Alors, qu’on donc ces fous du bistouri à vouloir nous priver de cette sagesse qui nous vient de loin ? Jaloux ? Mais, même si la vigueur de l’ustensile tend à
diminuer progressivement, elle existe encore et, comme dit la chanson : « Non, non, non, non, Saint Eloi n’est pas mort (bis) Car il bande encore (bis) » Donc pas de souci à se
faire. La fréquence est plus faible mais l’activité est toujours là.
Evidemment, quand l’adénome est là, il faut s’en occuper.
Il y a plus ennuyeux. Il s’agit du cancer de la prostate. Là, c’est une dégradation plus
empoisonnante. Qu’en est-il réellement ?
Ce sera l’objet d’un autre article. On ne peut pas
tout avoir en une seule fois, non ?
Les médicaments doux en cas d’adénome de la prostate (que j’utilise moi-même ! un
vrai cobaye):
·l’extrait de palmier nain : Sabal serrulata
·l’extrait de prunier d’Afrique : Tadenan (ou autre)
·la racine d’ortie ou les feuilles aériennes d’ortie sont également bonnes (et
gratuites !)
Evidemment, ces médicaments issus de la pharmacopée douce, ne dispensent pas de consulter
régulièrement un urologue. Mais, pas un seul ! Faîtes jouer la concurrence.